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mercredi 4 juin 2014

Bernard KUCHUKIAN Avocat, donne son avis sur l’audience du 07 mai 2014 devant le faux conseil régional de discipline

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Maître Bernard KUCHUKIAN
Avocat à MARSEILLE

Quel dommage de n’avoir pas pu être à ses cotés pour le défendre et le soutenir à l’audience disciplinaire du 7 mai à PARIS. 
Cette absence était due à mon état de santé (suite à une opération sérieuse), je sortais la veille de l’hôpital de la Conception pour commencer une convalescence d’un mois.
Je vous conjure d’aller  tous voir la video correspondante sur Daillymotion.
Elle est la démonstration du caractère scandaleux de la procédure disciplinaire sous forme de règlement des comptes internes contre tel avocat.
Avec jugement préparé à l’avance. 
Et des juges avocats minables,  parce qu’en plus pas courageux du tout.
De son coté, DANGLEHANT est génial et fou à la fois : je l’approuve à 1000 %. 
J’ai eu la chance ni banale ni courante de faire sa connaissance en plaidant à ses cotés au Conseil constitutionnel : on voudra bien considérer que n’importe quel avocat ne va pas ainsi pouvoirs s’exprimer rue Montpensier. 
Il est devenu mon ami.
En réfléchissant à la vision de la vidéo, on pense à trois choses fondamentales :
1°. Il ne peut exister de juridiction quelle qu’elle soit sans le concours de la force publique. 
La juridiction disciplinaire des avocats comme les autres n’ont pas le concours de cette force publique, parce que sagement la loi ne l’a pas prévue. 
On ne protège pas cela.
2°. Et pourquoi ne l’a-t-elle pas prévu ? 
Parce que les juges ne sont pas des juges, des juges indépendants et impartiaux.
3°. D’ailleurs, elles ne comportent pas de greffier d’audience. 
Or, cette personne est fondamental dans la justice. 
Sans lui notamment pour valider les actes du juge, la juridiction n’existe pas. 
Je ne rêve pas : la Cour de cassation l’a jugé en janvier dernier en considérant comme un acte sans aucune portée pratique la décision rendue par un bâtonnier juge dans une affaire de contentieux rémunération entre confrères, après avoir constaté que la décision ne comportait pas la formule exécutoire du décret de 1947. 
Oh, ce n’était pas un oubli, surement pas, c’est que la loi ne considère pas ces fausses juridictions et qu’en conséquence, elles ne peuvent bénéficier de la formule exécutoire.
J’ignore si une suite de l’affaire DANGLEHANT est prévue : qu’on me laisse le temps de mon rétablissement pour que je puisse venir avec lui, et amener d’autres avec nous.


Article source



Commentaire du Bâtonnier Bernard GIROUX 

Maître François DANGLEHANT avait utilisé mon blog pour donner des informations complètes sur les procédures disciplinaires mises alors en oeuvre contre lui par le Bâtonnier de Seine Saint-Denis alors que j'étais Bâtonnier en exercice à GRENOBLE.
Je n'ai pas exercé la moindre censure et il a pu ainsi s'exprimer dans le cadre d'une publication qui a été lue par de nombreux internautes.



Monsieur le Bâtonnier 

Bernard GIROUD

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Article concernant 

Frédéric GABET


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1 commentaire:

  1. Bonsoir cher Maître,
    Je suis prête (ainsi que nombre de mes connaissances) à envoyer la lettre destinée au Président de la République pour que vous obteniez la grâce présidentielle. Seulement, vous n'avez pas précisé d'une manière claire si nous devons joindre toutes les pièces 1 et 2 comme vous les nommez dans votre courrier. Merci de bien vouloir me répondre. Je m'appelle Rachel Laurence sur Facebook et sur G+. avec toutes mes plus chaleureux encouragement pour votre persévérance. De tout coeur avec vous.
    Rachel Laurence

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