Stéphane CAMPANA
demande illégalement
la suspension provisoire
de Me François DANGLEHANT
Dans cette vidéo
Stéphane CAMPANA
soitient qu’il ne s’occupe pas
de la demande de suspension provisoire
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Stéphane CAMPANA
soitient qu’il ne s’occupe pas
de la demande de suspension provisoire
François Dangléhant
Avocat au Barreau de la Seine Saint Denis
DEA Théorie
Philosophie du Droit Paris X
DESS
Contentieux de Droit Public Paris I
1 rue des victimes du franquisme
93200 SAINT-DENIS
Tel – Fax 01 58 34 58 80
Saint-Denis le,
18 février 2015
LETTRE
OFFICIELLE - RAR N° 1A 113 131 8731 9
Barreau de la SEINE
SAINT DENIS
Monsieur
Stéphane CAMPANA
En sa qualité
de bâtonnier
11 à 13 rue de
l’Indépendance, 93000 BOBIGNY
Fax N° 01 41 60
80 89 - N° 01 48 43 09 45 (45 pages)
AFF. :
DOS N°
AFF. :
Monsieur le Bâtonnier et
Cher Confrère,
J’ai l’honneur de vous adresser la
présente, au sujet de la lettre que vous avez adressée le 03 février 2015 à
Madame Marie-Noëlle TEILLER en sa qualité d’Avocat général et, à la cour
d’appel de PARIS, au sujet de la demande de suspension provisoire me
concernant.
J’ai pu consulter cette lettre.
Je
regrette de ne pas avoir été rendu destinataire de cette lettre qui me
concerne, ce qui constitue une violation du contradictoire et des droits de la
défense.
Je vous remercie de bien vouloir, pour le bon respect du contradictoire, me communiquer la lettre du 03 février 2015,
que vous avez adressée à Madame Marie-Noëlle TEILLER, en qualité d’Avocat général
et, à la cour d’appel, au sujet de la procédure de suspension provisoire me
concernant.
+ + + +
Dans cette lettre, vous exposez que je
n’ai pas fait appel du faux jugement
du 16 décembre 2014, qui a prononcé une « sanction disciplinaire » à
mon encontre et encore, que cette décision serait définitive.
Je regrette de vous le dire, mais, ces
informations sont inexactes :
- la décision du 16 décembre 2014, n’a
pas été prononcée par la juridiction prévue par la loi, mais, par une
juridiction d’opérette dans le style « Luis MARIANO », une
juridiction sans aucune base légale, dans une ambiance de justice de type
« Section spéciale » ;
- j’ai fait appel de cette fausse
décision le 23 décembre 2014 (Pièce 1).
Vous êtes parfaitement informé, du fait
que, j’ai fait appel de la fausse décision du 16 décembre 2014 et donc, que
cette décision n’est pas définitive.
Dans ces circonstances, vous n’aviez pas
le droit d’écrire à la cour, que la fausse décision prise le 16 décembre
2014, par un faux conseil de
discipline, serait définitive.
En conséquence, je vous remercie de bien
vouloir écrire à Madame Marie-Noëlle TEILLER et à la cour, pour informer que,
la fausse décision du 16 décembre 2014, a fait l’objet d’un recours et donc,
que l’information que vous avez communiquée, selon laquelle, je serais définitivement
radié, est inexacte et encore fausse.
+ + + +
Je vous remercie de bien vouloir :
- me communiquer la lettre que vous avez
adressée le 03 février 2015, à Madame Marie-Noëlle TEILLER et à la cour ;
- me communiquer la lettre que vous allez
adresser à Madame Marie-Noëlle TEILLER et à la cour, pour démentir les fausses
informations contenues dans votre lettre du 03 février 2015.
+ + +
Vous avez écrit à la cour le 03 février
2015, pour demander ma suspension provisoire.
Je regrette de vous le dire, mais, cette
demande est manifestement illégale :
- au regard du principe de présomption
d’innocence ;
- au regard du critère de l’urgence.
En effet, la suspension provisoire d’un
Avocat ne peut être ordonnée, que si et seulement si, il existe un motif qui justifie de l’urgence à
prononcer une suspension provisoire, or, les faits motivant l’urgence remontent au 07 mai 2014, soit à plus de 10 mois.
Votre demande de suspension provisoire,
ne correspond pas aux critères prévus par la loi et, caractérise donc un excès de pouvoir.
C’est pourquoi, je vous demande de bien
vouloir rétracter votre lettre du 03 février 2015, au travers laquelle, vous
demandez à la cour d’appel, de me placer illégalement en suspension provisoire.
Enfin, je souhaite encore attirer votre
attention, sur le fait que je suis en procès avec vous, au sujet de votre
élection en qualité de bâtonnier, dès lors, votre jugement peut ne pas être
impartial, c’est pourquoi, je vous remercie de ne plus intervenir, dans la
« Chasse à l’Avocat » engagée à mon encontre, à tout le moins, sans me
communiquer les écritures, qui
traduiront vos interventions.
Je souhaite encore attirer votre
attention que le fait que, la gestion du tableau des Avocats (accès à la
profession) et la justice disciplinaire, constituent :
- des missions de service public ;
- et encore, l’exercice de prérogative de
puissance publique.
Le Parlement a délégué aux barreaux et au
conseil régional de discipline, des missions de service public et pour ce
faire, des prérogatives de puissance publique.
Le Conseil régional de discipline
constitue une juridiction spécialisée, au même titre que le Conseil des
Prud’hommes, ou le Tribunal de commerce.
Il s’agit de juridiction spécialisée,
dans lesquelles siègent à titre occasionnel,
des juges non professionnels,
comprendre, qui ne sont pas protégés par le statut de la magistrature,
notamment, sur le plan de la responsabilité civile.
+ + + +
L’article 6 de la Convention européenne
pose le principe que toute personne a le droit d’être jugée, par une
juridiction prévue par la loi :
« Toute personne a droit à
ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un
tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses
droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute
accusation en matière pénale dirigée contre elle ….. »
+ + + +
En l’espèce, les délibérations des
barreaux de la SEINE SAINT-DENIS et du VAL DE MARNE de décembre 2013, ont fait
l’objet de contestations, devant le conseil de l’ordre et devant la cour
d’appel (Pièce 2, 3).
Les désignations de juges disciplinaires
par ces deux barreaux, ont donc été suspendues temporairement, depuis le 16
janvier 2014 (Article 16 du décret du 27 novembre 1991).
Dès lors, les juges disciplinaires de ces
barreaux, ont siégé sans droit ni titre :
- à l’assemblée générale du 29 janvier
2014 (Pièce 4) ;
- à l’audience du 07 mai 2014 ;
- à l’audience du 03 décembre 2014 ;
- à l’audience du 16 décembre 2014.
Les décisions qui ont été prises le 16
décembre 2014 dans l’affaire de Me Richard NDEMAZOU (Pièce 5) et dans mon affaire (Pièce
6), constituent donc des faux criminels en écriture publique, car, les
sanctions disciplinaires, traduisent l’exercice
de prérogatives de puissance publique.
+ + + +
Enfin, l’article 22-1 de la loi du 31
décembre 1971, pose le principe que, le Conseil régional de discipline, doit
comporter au moins 1 juge-disciplinaire représentant chaque barreau.
Je pense inutile de vous faire observer
que :
- la décision concernant notre confrère
Me Richard NDEMAZOU a été prise en l’absence de juge-disciplinaire représentant
les barreaux de l’ESSONNE, de FONTAINEBLEAU, de MELUN et de SENS (Pièce 5) ;
- la décision me concernant du 16 décembre
2014 a été prise en l’absence de juge-disciplinaire
représentant le barreau de FONTAINEBLEAU (Pièce
6).
Il ne s’agit pas de décisions prises par
la juridiction prévue par la loi (le Conseil régional de discipline), mais, de
fausses décisions, prises, dans l’exercice de prérogatives de
puissance publique.
Il s’agit donc de faux criminel en
écriture publique, infraction pour lesquelles, il faudra tôt ou tard, rendre
des comptes devant la cour d’assise.
Ci-joint, l’arrêt du 20 février 2014, qui
annule sans évoquer, une procédure disciplinaire frauduleuse, pour composition
irrégulière de la formation de jugement
(Pièce 7).
+ + + +
En votre qualité de bâtonnier, vous être procureur disciplinaire, votre mission consiste donc :
- de requérir l’application de la
loi ;
- non, à aider « les tricheurs »
pour l’accomplissement de forfaitures.
+ + + +
Je vous remercie de bien vouloir me fixer
un rendez-vous, pour analyser les fraudes concernant la justice disciplinaire.
Je vous remercie pour l’attention que
vous porterez à la présente, dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur le Bâtonnier,
l’expression de mes salutations respectueuses et distinguées.
François DANGLEHANT
P. J. : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
++++++
Quel difficile combat vous avez Maître, j'ai fait parti de votre comité de soutien.
RépondreSupprimerEn ce qui nous concerne nous sommes victimes d'Avocats5 qui nous ont conduits à la ruine en ce qui concerne 2 des victimes et à la quasi ruine en ce qui me concerne) Nous combattons avec l'énergie du désespoir, mais la justice passera de gré ou de force par AGEN.
Lettre ouverte à Mme TAUBIRA, Ministre de la Justice DEFAILLANTE.
Cordialement Mme VIDAL http://combatcontreinjustice.over-blog.com