Mise à jour du 11 mai 2014
L’article 193 du décret du 27 novembre prescrit :
« La formation restreinte ne peut renvoyer l'examen de l'affaire à la formation plénière de l'instance disciplinaire qu'après audition de l'avocat qui comparaît »
+ + + +
En, matière disciplinaire, l’Avocat poursuivi ne peut être renvoyé devant la formation plénière de jugement, qu’après avoir été entendu par une formation de jugement restreinte.
J’ai été directement convoqué devant la formation plénière de jugement, en principe 24 Avocats, mais, il n’y avait que 15 Avocats.
Tout était donc complètement illégal, car, l’affaire n’avait pas été renvoyée par une formation de jugement restreinte, à la formation plénière de jugement.
Au surplus, les 15 Avocats présents étaient sous le coup d’une récusation non purgée et, n’avaient donc pas le droit de siéger.
Les 15 Avocats qui ont prétendu siéger, avaient tous été parfaitement informés de l’irrégularité des actes d’installation du Conseil de discipline régional et encore, que tous les actes de la procédure avaient fait l’objet d’une inscription de faux.
Le rapport d’instruction a été déposé par le dénommé GABET Frédéric, un rapport grossièrement entaché de nullité car :
- il était sous le coup d’une récusation, qui à ce jour n’a toujours pas été purgée, c’est pourquoi il n’était pas présent à l'audience ;
- je n’ai pas été entendu, en violation du contradictoire.
Au surplus, 4 des Avocats qui m’avaient radié frauduleusement en 2008, étaient encore présents, bien que sous le coup d’une récusation non purgée :
- 1° Josine BITTON ;
- 2° Nathalie BARBIER ;
- 3° Eric MORIN ;
Robert FEYLER m’accuse gratuitement d’avoir injurié un magistrat :
- sans être capable de dire le nom de ce magistrat ;
- sans être capable de dire le nom de la juridiction dans laquelle il exerce ;
- san être capable de dire le jour où les faits se seraient produits ;
- sans être capable d’exposer en quoi consiste le discours prétendu injurieux.
Robert FEYLER a inventé de toutes pièces de fausses accusations à mon encontre, pour donner une apparence de légalité à une procédure disciplinaire frauduleuse.
Le rapport d’instruction a été déposé par le dénommé GABET Frédéric, un rapport grossièrement entaché de nullité car :
- il était sous le coup d’une récusation, qui à ce jour n’a toujours pas été purgée, c’est pourquoi il n’était pas présent à l'audience ;
- je n’ai pas été entendu, en violation du contradictoire.
+ + + +
Au surplus, 4 des Avocats qui m’avaient radié frauduleusement en 2008, étaient encore présents, bien que sous le coup d’une récusation non purgée :
- 1° Josine BITTON ;
- 2° Nathalie BARBIER ;
- 3° Eric MORIN ;
- 4° Fabrice NORET.
Enfin, le greffier secrétaire du Conseil de discipline régional est Me Damien MANNARINO, il n’était bien évidemment pas présent.
Enfin, le greffier secrétaire du Conseil de discipline régional est Me Damien MANNARINO, il n’était bien évidemment pas présent.
+ + + +
- sans être capable de dire le nom de ce magistrat ;
- sans être capable de dire le nom de la juridiction dans laquelle il exerce ;
- san être capable de dire le jour où les faits se seraient produits ;
- sans être capable d’exposer en quoi consiste le discours prétendu injurieux.
Robert FEYLER a inventé de toutes pièces de fausses accusations à mon encontre, pour donner une apparence de légalité à une procédure disciplinaire frauduleuse.
Tous les Avocats qui ont siégé
étaient sous le coup d’une récusation non purgée
et n’avaient pas le droit de siéger
Article 346 du Code de procédure civile
« Le juge, dès qu'il a communication de la demande, doit s'abstenir jusqu'à ce qu'il ait été statué sur la récusation »
Mise à jour du 09 mai 2014
Je remercie toutes les personnes qui sont venues me soutenir à l’audience du 07 mai 2014 à 13 H 30.
Je remercie également Me Anne GRECO Avocate au Barreau de PARIS qui est intervenue pour dénoncer la procédure disciplinaire illégale et frauduleuse, engagée à mon encontre par, Robert FEYLER actuel bâtonnier de la SEINE SAINT-DENIS.
En 2008, 7 fausses accusations disciplinaires ont été portées à mon encontre par BARBIER Nathalie, à l’époque bâtonnier de la SEINE SAINT-DENIS :
- j’ai été radié par un - Faux conseil de discipline - par décision du 24 novembre 2008, décision qui constituait un faux criminel en écriture publique, décision prise sous la signature de BEDOU-CABAU Marie-Dominique (Avocat au barreau du VAL DE MARNE) ;
- par arrêt du 28 mai 2009, la cour d’appel de PARIS, a purement et simplement annulé la fausse décision prononcée à mon encontre par BEDOU-CABAU Marie-Dominique.
Le 10 septembre 2013, 7 fausses accusations disciplinaires ont été portées à mon encontre par FEYLER Robert, bâtonnier de la SEINE SAINT-DENIS.
Un rapport d’instruction disciplinaire a été déposé le 13 mars 2014 par GABET Frédéric (Avocat à SAINT-OUEN) :
- qui était sous le coup d’une récusation non purgée et, qui n’avait donc pas le droit de faire de rapport disciplinaire ;
- qui a déposé le rapport disciplinaire, sans m’avoir étendu et en portant de fausses accusations à mon encontre. Déjà en 2006, GABET Frédéric avait exercé des pressions à mon encontre (Google : Top Alerte Gabet).
A l’audience du 07 mai 2014, 4 Avocats qui avaient participé à la fabrication de la décision qui m’avait radié frauduleusement en 2008, étaient encore présents et, voulaient encore me radier frauduleusement :
- 1° Josine BITTON (Avocate à PIERREFITE SUR SEINE) ;
- 2° Nathalie BARBIER (Avocate à DRANCY) ;
- 3° Eric MORIN (Avocat à MEAUX) ;
- 4° Fabrice NORET (Avocat à MEAUX).
Les autres Avocats qui voulaient me radier à l’audience du 07 mai 2014 sont :
- 5° François DETTON (Avocat à la LA COURNEUVE) ;
- 6° Julien DUPUY (Avocat à EVRY) ;
- 7° Jean-Sébastien TESLER (Avocat à RIS ORANGIS) ;
- 8° Pierre ELLUL (Avocat à EVRY) ;
- 9° Anne LEVEILLARD (Avocat à MEAUX) ;
- 10° Eric BENOIT GRANDIERE (Avocat à OZOIR LA FERRIERE) ;
- 11° Susanne SACK COULON (Avocat à PONTAULT-COMBAULT) ;
- 12° Hélène THIRION (Avocat à PONTAULT-COMBAULT) ;
- 13° Sylviane HIGELIN (Avocate à ROSNY SOUS BOIS) ;
- 14° X….
- 15° X….
La loi prévoit que, dans une formation de jugement, il faut au moins un Avocat pour chaque barreau.
A l’audience du 07 mai 2014 :
- aucun Avocat du barreau de FONTAINEBLEAU ;
- aucun Avocat pour le barreau de SENS ;
- aucun Avocat pour le barreau d’AUXERRE.
En plus, tous les Avocats siégeant à l’audience du 07 mai 2014 étaient sous le coup d’une récusation non purgée et n’avaient pas le droit de siéger.
Or, tous les Avocats présents, DETTON François et les autres, avaient décidé de siéger et encore, de me radier.
Les autres Avocats qui voulaient me radier à l’audience du 07 mai 2014 sont :
- 5° François DETTON (Avocat à la LA COURNEUVE) ;
- 6° Julien DUPUY (Avocat à EVRY) ;
- 7° Jean-Sébastien TESLER (Avocat à RIS ORANGIS) ;
- 8° Pierre ELLUL (Avocat à EVRY) ;
- 9° Anne LEVEILLARD (Avocat à MEAUX) ;
- 10° Eric BENOIT GRANDIERE (Avocat à OZOIR LA FERRIERE) ;
- 11° Susanne SACK COULON (Avocat à PONTAULT-COMBAULT) ;
- 12° Hélène THIRION (Avocat à PONTAULT-COMBAULT) ;
- 13° Sylviane HIGELIN (Avocate à ROSNY SOUS BOIS) ;
- 14° X….
- 15° X….
En cas d’erreur, sur simple mail, rectification
***
La loi prévoit que, dans une formation de jugement, il faut au moins un Avocat pour chaque barreau.
A l’audience du 07 mai 2014 :
- aucun Avocat du barreau de FONTAINEBLEAU ;
- aucun Avocat pour le barreau de SENS ;
- aucun Avocat pour le barreau d’AUXERRE.
***
Or, tous les Avocats présents, DETTON François et les autres, avaient décidé de siéger et encore, de me radier.

Philippe Maurice
Un escroc international inscrit au
Barreau de Melun en 2011
Laurence Imbert bâtonnier de Melun en 2011
Article source cliquez ici
Barreau de Melun
Barreau de Melun
Barreau de Melun
Un escroc international inscrit au
Barreau de Melun en 2011
Laurence Imbert bâtonnier de Melun en 2011
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Barreau de Melun
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Barreau de Melun
La feuille de présence
de l’Assemblée générale du 28 janvier 2008
indique que le bareau de FONTAINEBLEAU a désigné
Me David BOUAZIZ et Me Bernard DUMONT
Faux criminel en écriture publique
car, ces deux Avocats ne seront désignés
que le 30 janvier 2008
Faux procès verbal d’élection
du 28 janvier 2008
pris sous la signature de
Marie-Dominique DEBOU-CABAU
Avocat au Barreau du VAL DE MARNE
Arnaud BERNARD
Avocat au Barreau du VAL DE MARNE
Faux procès verbal d’élection
du 29 janvier 2014
pris sous la signature de
François DETTON
Avocat au Barreau de la SEINE SAINT-DENIS
Damien MANNARINO
Avocat au Barreau de la SEINE SAINT-DENIS
Les Avocats des barreaux de FONTAINEBLEAU,
de SENS, d’AUXERRE et de l’ESSONNE
n’ont pas pris part à l’élection du Président
Seuls sont valables
les désignations d’Avocats effectuées
par les Barreaux
de SENS, AUXERRE, FONTAINEBLEAU,
MELUN et MEAUX
C’est donc le Conseil de discipline des Barreaux de
SENS, AUXERRE, FONTAINEBLEAU, MELUN et MEAUX
Une Section spéciale complètement illégale
François Dangléhant
Avocat au Barreau de la Seine Saint Denis
DEA Théorie
Philosophie du Droit Paris X
DESS
Contentieux de Droit Public Paris I
1 rue des victimes du franquisme
93200 SAINT-DENIS
Tel – Fax 01 58 34 58 80
Saint-Denis le,
26 avril 2014
LETTRE
OFFICIELLE
Lettre ouverte à l’attention des Avocates
et
Avocats du Barreau de MELUN
Fax N° 01 (00 page)
Aff. : 2-5
Ma Chère
Consoeur,
Mon Cher
Confrère,
Je souhaite attirer votre attention sur
une affaire d’une extrême gravité, concernant le fonctionnement du Conseil de
discipline régional.
J’ai fait l’objet d’une procédure
disciplinaire frauduleuse en 2008, engagée par Madame BARBIER Nathalie es
bâtonnier, procédure portant sur 7 fausses accusations :
- par décision du 24 novembre 2008, j’ai
fait l’objet d’une radiation frauduleuse ;
- la cour d’appel a annulé la décision de
première instance, puis, a statué sur le fond et, rejeté les 7 fausses
accusations portées à mon encontre par Madame BARBIER Nathalie et encore, a condamné le barreau de la SEINE SAINT DENIS à payer
les dépens (Pièce A).
Une nouvelle procédure disciplinaire a
été engagée à mon encontre le 10 septembre 2013, par Monsieur Robert FEYLER es
bâtonnier, sur :
- les mêmes 7 fausses accusations déjà
portées à mon encontre en 2008 (autorité de chose jugée) ;
- sur une accusation portée à mon
encontre par un repris de justice, qui s’est faussement prévalu de la qualité
d’Avocat inscrit au Barreau de MADRID (Pièce
B).
Cette affaire vient à l’audience du 07
mai prochain, à la Maison des Avocats du Barreau de PARIS, 4 rue du Harlay 75
001 PARIS.
Barreau de Paris
Siège
du faux Conseil de discipline
de la cour d’appel de Paris
Outre le fait que Monsieur Robert FEYLER es bâtonnier, porte de fausses accusations à mon encontre, la difficulté tient dans le fait que, le Conseil de discipline régional n’a pas été régulièrement installé, on peut même dire que pour l’année 2014, cette juridiction n’a pas été installée, compte tenu des irrégularités et des fraudes, qui entachent les actes d’installation de cette juridiction, or, une partie de ces irrégularités, ont été commises par des Avocats inscrits au barreau de Melun.
Le Conseil de discipline régional
constitue une juridiction intégrée à « l’Autorité judiciaire », qui
juge les infractions disciplinaires « Au nom du peuple français »,
sur délégation législative de compétence, l’autorité de poursuite est le
bâtonnier ou le Procureur général.
Chaque année, le Conseil de discipline
régional doit être installé :
- au plus tard le 31 décembre, le conseil
de l’ordre désigne des Avocats pour siéger au Conseil de discipline régional
(Article 180 du décret du 27 novembre 1991) ;
- au cours du mois de janvier suivant,
tous les Avocats siégeant du Conseil de discipline régional, élisent à bulletin secret, le Président du Conseil de discipline régional
(Article 22-1 de la loi du 31 décembre 1971).
En décembre 2013, le conseil de l’ordre
du barreau de l’ESSONNE a désigné 8 Avocats dont les noms suivent, pour siéger
au Conseil de discipline régional en 2014 :
- 1° Me Sylvie FRANCK
- 2° Me Julien DUPUY
- 3° Me Jean-Sébastien TESLER
- 4° Me Ibrahima BOYE
- 5° Me Pierre ELLUL
- 6° Me Nicolas THOMAS-COLLOMBIER
- 7° Me Karine TILLY
- 8° Me Françoise BRUNET-LEVINE :
Cette délibération est illégale, car, le
barreau de l’ESSONNE, comporte moins de 400 Avocats inscrits, dès lors, ce
barreau ne pouvait désigner que 6 Avocats et non 8 Avocats.
L’article 180 du décret du 27 novembre
1991 définit le nombre d’Avocat à désigner en, fonction du nombre d’Avocat
inscrit au barreau :
- jusqu’à 200 Avocats inscrits :
désignation de 6 Avocats ;
- par tranche de 200 Avocats inscrits en plus des 200 premiers Avocats
comptabilisés : 2 Avocats.
Ci-joint, la lettre du bâtonnier de
MONTPELLIER, qui explique que son barreau a parfaitement appliqué l’article 180
du décret du 27 novembre 1991 (Pièce
C) :
- pour 2011 : plus de 800 Avocats et
moins de 1000 = désignation de 12 Avocats ;
- pour 2012 : plus de 800 Avocats et
moins de 1000 = désignation de 12 Avocats.
J’ai donc formé un recours en annulation
de la délibération du barreau de l’ESSONNE, qui a désigné illégalement, 8
Avocats pour siéger au Conseil de discipline régional en 2014.
J’ai également formé des recours en
annulation des délibérations des barreaux de la SEINE SAINT-DENIS et du VAL DE
MARNE, qui ont désigné également chacun, 2 Avocats en trop.
Ces recours sont pendants devant la cour
d’appel d’AMIENS, au visa de l’article 47 du Code de procédure civile.
Ces recours ont été formés sur le
fondement de l’article 22-1 de la loi du 31 décembre 1971.
Les Avocats du barreau de l’ESSONNE, de
la SEINE SAINT-DENIS et du VAL DE MARNES dont les noms suivent, siègent donc
illégalement au « Conseil de discipline régional » en 2014, c’est à
dire sans droit ni titre et encore, n’ont pas le droit de siéger, car, les délibérations qui les désignent, font l’objet d’un recours devant la cour d’appel d’AMIENS, or, un recours contre une délibération du conseil de l’ordre, est suspensif :
-
1° Me Sylvie FRANCK
- 2° Me Julien DUPUY
- 3° Me Jean-Sébastien TESLER
- 4° Me Ibrahima BOYE
- 5° Me Pierre ELLUL
- 6° Me Nicolas THOMAS-COLLOMBIER
- 7° Me Karine TILLY
- 8° Me Françoise BRUNET-LEVINE
- 9° Me Nathalie BARBIER
- 10° Me Josine BITTON
- 11° Me François DETTON
- 12° Me Damien MANNARINO
- 13° Me Sylvianne HIGELIN
- 14° Me Florence LOUIS
- 15° Me Anne SEVIN
- 16° Me Valéry GRIMAUD
- 17° Me Israël BOUTBOUL
- 18° Me Laurent NIVET
- 19° Me Sylvie EX-IGNOTIS
- 20° Me
Nathalie SOUFFIR
- 21° Me
Christine GRUBER
- 22° Me
François AUDARD
- 23° Me
Yolaine BANCAREL-LANCIER
- 24° Me Maxime
TONDI
- 25° Me
Patriciat COHN
- 26° Me
Mahieddine BENDAOUD
- 27° Me
Jean-François MOREAU
- 28° Me Eric
ALLAIN
L’élection du Président du Conseil de
discipline régional, qui a eu lieu le 29 janvier 2014, est par ailleurs
entachée par plusieurs fraudes (Pièce D).
Le Président du Conseil de discipline,
avait l’obligation de convoquer, tous les membres du Conseil de discipline
régional par lettre recommandée (titulaires + suppléants), avec ordre du jour, ce qu’il n’a pas effectué.
Dans ces circonstances, les Avocats des
barreaux de l’ESSONNE, de FONTAINEBLEAU, de SENS et d’AUXERRE n’ont pas
participé à l’élection du 29 janvier 2014.
Par ailleurs, l’Assemblée générale qui
vise à élire le Président du Conseil de discipline régional, ne peut siéger, à
défaut de quorum (+ de la moitié des inscrits), soit au moins 25 Avocats (Pièce E, page 2).
En 2014, 48 Avocats siègent au « Conseil
de discipline régional », or, seuls 11 Avocats, ont participé à
l’élection, l’élection n’a donc pas été valable.
Or, Messieurs DETTON François et Damien
MANNARINO ont dressé un Procès verbal actant l’élection de DETTON François, es
qualité de Président (Pièce D, page 4).
Je regrette, mais, ce Procès verbal
constitue un faux criminel en
écriture publique, car, lorsque la
validité d’une élection est conditionnée par un quorum, le fait de procéder à
l’élection, alors même que le quorum
n’est pas valable, entache
automatiquement de nullité ladite élection, dans ces circonstances, dresser un
Procès verbal d’élection, caractérise un faux, car Monsieur DETTON François n’a
pas été élu le 29 janvier 2014, à défaut
de quorum valable.
A l’Assemblée générale élective, tous les
membres du Conseil de discipline votent, les titulaires + les suppléants, en
effet, l’article 22-1 de la loi du 31 décembre 1971 ne fait pas de différence
entre les titulaires et les suppléants. Du reste, vous pourrez constater que
dans 3 cas, le titulaire et le suppléant ont bien signé la feuille d’émargement
(Pièce D, page 7).
Fraudes, tricherie, combines, sous la
responsabilité de Messieurs DETTON François et Damien MANNARINO.
Je porte bien évidemment plainte pour
faux criminel en écriture publique, fraude électorale et tentative
d’escroquerie au jugement.
J’attire votre attention sur le fait que
la cour d’appel de LYON, vient récemment d’annuler une procédure disciplinaire,
sans évoquer, pour composition
irrégulière du Conseil de discipline
régional, le barreau de LYON qui ne pouvait désigner que 18 Avocats, en avait
désigné 32 (Pièce F).
Lorsque le Conseil de discipline
régional n’est pas valablement
installé, la décision de première
instance n’est pas prise par le Conseil de discipline régional, mais, par une
« Section spéciale », composée par des Avocats siégeant en dehors de
tout cadre légal.
Dans un tel cas de figure, la décision de
première instance, constitue un faux
criminel en écriture publique,
comprendre que, Monsieur FEYLER Robert, en parfaite connaissance de
cause, a fixé une audience le 07 mai prochain, pour « fabriquer » une
fausse décision disciplinaire et donc, un
faux criminel en écriture publique.
Les Avocats qui participeront à une
forfaiture de cette nature, seront poursuivis au pénal, condamné et, chassés à
vie de la profession d’Avocat.
Voir en ce sens la décision récente
concernant Me Raynald HERBAUT, qui a pris part à la fabrication d’un faux
jugement (Pièce G) :
- sanction pénale ;
- interdiction à vie d’exercer la
profession d’Avocat.
La décision de la cour d’appel vient d’être confirmée par la Cour de
cassation, ce qui est parfaitement
logique.
J’invite donc les Avocats dont les noms
suivent, à éviter de participer à l’audience du 07 mai 2014 à 13 H 30, car,
cette audience à pour finalité, la
fabrication d’une décision qui constituera un faux criminel en écriture
publique :
Me Eric BENOIT GRANDIERE
Me Florence LAMPIN
Me Susanne SACK COULON
Me Laurence IMBERT
Me Hélène THIRION
Me Sandrine MARIES
Des recours concernant des faits de même
nature sont pendants :
- devant la cour d’appel de DIJON ;
- devant la cour d’appel de TOULOUSE (Cliquez ici) (Cliquez ici)
- devant la cour d’appel d’AMIENS (Pièce jointes).
+ + + +
En pièces jointes la lettre du bâtonnier
de PERPIGNAN, qui caractérise l’organisation d’une fraude à la procédure
disciplinaire (Pièce H).
Celles et ceux qui croient pouvoir
utiliser la procédure disciplinaire, pour chasser illégalement les Avocats qui
font proprement leur travail, devront rendre des comptes devant la cour
d’assise, pour faux criminel en écriture publique, fraude électorale, avec les
conséquences de droit.
+ + + +
J’ai déjà été radié frauduleusement en
2008, non pas par le conseil de discipline régional, mais, par une
« Section spéciale », composée par des Avocats siégeant sans droit ni
titre, car, le Conseil de discipline n’avait pas été légalement installé.
Des Avocats du Barreau de MELUN avaient
participé activement à cette opération frauduleuse :
- la délibération du 13 décembre 2007 les
désignant était manifestement illégale, entre autre, pour avoir illégalement
désigné le bâtonnier en exercice : Catherine RACINE-TERRENOIR, Sylvie COLIN,
Anne de SAINT-GENOIS, Marie-Noëlle SALIGET-CHARRIER, Laurent ADAMCZYK, Nicole
BEL ;
- trois Avocats avaient participé à
l’élection frauduleuse du Président du Conseil de discipline régional, défaut de
quorum, élection à main levée, 75 % d’Avocat siégeant sans droit ni titre,
désignation des Avocats par le Barreau de FONTAINEBLEAU, 2 jours après
l’élection : Sylvie COLIN, Laurent ADAMCZYZ ;
- deux Avocats ont participé à la
décision frauduleuse qui a prononcé ma radiation le 24 octobre 2008, alors même qu’ils étaient sous le coup
d’une récusation non purgée : Catherine RACINE-TERRENOIR, Anne de
SAINT-GENOIS ;
Cette décision, qui constitue en
elle-même un faux criminel en écriture publique, a été purement et simplement
annulée par la cour d’appel de PARIS.
Je réserve la possibilité de poursuivre
sur le plan pénal, les Avocats qui ont participé à cette forfaiture
(Prescription 10 ans).
Barreau de Melun
Enfin, on découvre avec stupeur qu’un
escroc notoire, déjà condamné au pénal, ne remplissant pas les conditions pour
accéder à la profession d’Avocat, Monsieur Philippe MAURICE, a été inscrit en
2011 au barreau de Melun, sur délibération des membres du conseil de l’ordre, alors que MadameLaurence IMBERT était bâtonnier.
Philippe MAURICE
Escroc international
Repris de justice
Avocat au barreau de Melun en 2011
Avocat au barreau de Melun en 2011
La difficulté tient dans le fait que, la
délibération illégale datant de 2011, qui a inscrit l’escroc Philippe MAURICE
au barreau de MELUN en qualité d’Avocat, a été prise par des Avocats qui
siègent au conseil de discipline régional.
J’appelle donc les Avocats du barreau de
MELUN a surveiller de plus près ce qui se passe au sein du conseil de l’ordre
et, au sein du conseil de discipline régional, sous risque d’un discrédit total
de ce barreau :
- délibération illégale du 13 décembre
2007, qui avait désigné le bâtonnier en exercice pour siéger au conseil de
discipline régional l’année suivante, alors que c’est interdit ;
- participation à l’élection frauduleuse
du Président du Conseil de discipline régional le 28 janvier 2008 et donc,
complicité de faux en écriture publique ;
- participation à la fabrication de la
fausse décision du 24 novembre 2008 et donc, complicité de faux en écriture
publique ;
- délibération du conseil de l’ordre de
2011, sous la présidence de Laurence IMBERT, inscrivant un escroc notoire au
barreau de MELUN en qualité d’Avocat, le dénommé Philippe MAURICE.
Pour juger les autres, il faut être
propre sur soit, dans ces circonstances, je ne vois pas comment des Avocats du
barreau de MELUN, pourront participer à l’audience du 07 mai prochain me
concernant car :
- ce barreau a gravement manqué à ses
devoirs récemment et de manière récurrente ;
- l’audience du 07 mai prochain a pour
finalité de fabriquer un faux jugement disciplinaire, dans la mesure où, le
conseil de discipline régional n’a pas été légalement installé.
J’invite donc les Avocats dont les noms
suivent, à éviter de participer à l’audience du 07 mai prochain, audience visant
à fabriquer un faux jugement, libre à eux de déférer « aux ordres »,
il faudra dans ce cas, rendre des comptes en justice :
- 1° Me Eric BENOIT GRANDIERE
- 2° Me Florence LAMPIN
- 3° Me Susanne SACK COULON
- 4° Me Laurence IMBERT
- 5° Me Hélène THIRION
- 6° Me Sandrine MARIES
Vous pouvez comprendre que nombre de
magistrats sont choqués de découvrir que :
- des Avocats du barreau de MELUN m’ont
radié frauduleusement en 2008, sur des fausses accusations et encore, dans le
cadre d’un faux jugement ;
- que les mêmes, ont inscrits au barreau
de MELUN en 2011, un escroc notoire, déjà condamné au pénal, ne remplissant
aucune des conditions pour être Avocat, le dénommé Philippe MAURICE.
Barreau de Melun
Je fais mon travail correctement, je
refuse de céder aux pressions et aux menaces des uns et des autres, les
magistrats me respectent, je viens d’obtenir avec notre confrère Me Jacques
VERDIER, la relaxe de Dieudonné MBALA MBALA (Pièce I).
J’appelle à une manifestation le 07 mai
prochain, au 4 rue du Harlay 75001 PARIS, pour dénoncer les fraudes aux
procédures disciplinaires.
Je suis à votre disposition pour les
informations complémentaires dont vous auriez besoin.
Votre bien dévoué confrère
François DANGLEHANT
BORDEREAU DE PIECES
Pièce A Arrêt
du 29 mai 2009
Pièce B Dénonciation
du faux avocat VIDAL-LOPEZ
Pièce C Lettre
du 13 février 2014
Pièce D Faux
Procès verbal du 29 janvier 2014
Pièce E Règlement
intérieur
Pièce F Arrêt
du 20 février 2014
Pièce G Affaire
HERBAUT
Pièce H Lettre
du bâtonnier de PERPIGNAN