Rechercher dans ce blog

Géo-localisation par Compteur.fr website statistics - Chargement Carte ...
.

lundi 10 juillet 2023

Qu'est-ce que la République, ou les institutions républicaines n'ont rien à voir avec des institutions démocratiques ! ! !



Mais comment avons-nous pu en en arriver là, un pays où une grande partie de la population vit dans une situation de misère économique et morale, où une clique, les macronautes, s’active chaque jour pour « supprimer » les libertés fondamentales. 

 

Mais comment avons-nous pu en arriver là, c’est le titre d’une lettre du 06 mai 2020, le cri de désespoir d’un homme qui exerce la profession d’acteur.

 

Il se décrit lui-même, spécialiste en rien, intéressé par tout, mais comment avons-nous pu en arriver là ? 

 

Comment ce pays si riche, la France, a-t-il pu priver de la liberté d’aller et venir, plus de 66 millions de citoyen pendant deux mois, par le décret d’un macronaute, sous prétexte que nous serions en guerre contre un virus.

 

Ou plus exactement sous la responsabilité des macronautes, un groupuscule qui depuis 2016 / 2017 se présentent au public sous la dénomination de « Républicains en marche », les mauvaises langues n’hésitent pas à dire en marche arrière.

 

Ces républicains qui se prétendent en marche ont réussi l’exploit de confiner chez eux plus de 66 millions de personnes, car c’est leur projet, non, c’est de l’humour bien évidemment.

 

Bref, tout pour eux et les souffrances pour les autres, ou plus exactement pour eux un banquet au château de Versailles pendant que d’autre reçoivent des bombes sur la tête. 

 

Leur programme économique et social fonctionne sur un logiciel assez simple, qui ne requière pas un cerveau qui tourne à 500 mégahertz : enrichir toujours plus les milliardaires en étant convaincus que la richesse de ceux-ci débordera tôt ou tard de leur poche et finira par retomber sur la « tronche » des gavroches, qui n’auront qu’à se baisser pour ramasser.

 

Pour paraphraser Sazyko, quelle indignité, madame.

 

Bref, un logiciel qui dégrade l’humanité.

 

La question va très vite se poser, le problème est-ce les républicains ou les « Républicains en marche » car visiblement le fait que les autres soient obligés de ramper pour survivre ne semble pas trop les déranger, du moment qu’eux, puissent continuer à vivre du système, à vivre très grassement sur le système pendant toute une vie en apportant aucune valeur ajoutée à la Nation.

 

L’homme qui pose la question mais comment avons-pu en arriver là au mois de mai 2020 s’appelle Vincent Lyndon, un citoyen de bon sens, doté de lucidité, qui sur le tard et du fait des circonstances a perçu, sur tous les plans et surtout sur le plan institutionnel, que quelque chose ne tourne pas rond chez nous en France. 

 

Et oui Madame, sur le plan institutionnel, manifestement quelque chose ne fonctionne plus chez nous et nous conduit à la déconfiture publique, comme au moment de la fin de la IVème République.

 

Certes, la guerre d’Algérie a contribué à précipiter la fin de la IVème République, mais pas uniquement. Nous avons oublié que sur la fin de la IVème République, la France était en situation de quasi cessation des paiements, avec pour conséquence que sur une période, notre pays n’était plus capable de verser aux agents publics leur traitement. Il a fallu mettre en place des « astuces budgétaires » pour pouvoir assurer la continuité financière de notre Etat.

 

La France et le monde se trouve dans une situation difficile, une situation de régression sur bien des plans et pour tenter d’esquisser un début de réponse à la question posée par le poète, mais comment avons-nous pu en arriver là, ce livre a pour objectif d’analyser la situation actuelle, de faire un état des lieux et de proposer des réponses concrètes sur le plan institutionnel.

 

L’idiot de service, nous répondra, point besoin de livre, d’analyse, de cahier de doléances, nous savons nous ce dont nous avons besoin. Le monde a besoin d’une transition écologique point barre et rentrez chez vous.

 

Ainsi, notre nation, notre peuple après avoir reçu un os à ronger, après avoir été formaté autour des concepts de gauche et de droite, est prié maintenant de bien vouloir s’organiser, c’est à dire se répartir entre des transiteurs, ceux qui sont d’accord pour monter les yeux fermés dans le train de la « transition écologique » et ceux qui sont contre, car à les entendre, ils ont la solution miracle, il faut leur faire confiance, la transition écologique suffira à remettre les choses en place et nous permettra de retrouver notre « Douce France ».

 

Le concept de transition écologique semble quelque peu limité pour résoudre les difficultés auxquelles nous sommes confrontées.

 

Je préfère la « transition démocratique », on en reparlera, c’est l’objet même de notre exposé.

 

D’autre revendique le retour à la monarchie. 

 

Si nous avions à la tête de l’Etat un homme ou une femme de bon sens, bienveillant ou bienveillante qui consacre sa vie au bien être de la Nation, tout pourrait rentrer dans l’ordre. 

 

La difficulté tient dans le fait que la monarchie est quasi indissociable du principe héréditaire, avec comme conséquence que le fils ou la fille d’un bon roi peut parfaitement être un tirant ou selon pour se mettre au gout du jour une « tirane » à ne pas confondre avec une tisane, c’est toute la difficulté.

 

Par conséquent, le démantèlement éventuel de la république ne pourra pas avoir pour conséquence de rétablir la monarchie, qui présente un grand risque compte tenu du principe héréditaire, sauf bien évidemment à repenser les principes fondamentaux sur lesquels repose ce système, la principale difficulté d’un système de cette nature tient dans le fait que sa légitimité repose sur le sacrement de dieu. En France, le roi était censé détenir de dieu son pouvoir d’organiser et de gérer la nation. Cette « base légale » était particulièrement fragile et encore procédait d’un postulat prêtant à forte contestation, notamment pour ceux qui ne croit pas en Dieu, une position parfaitement légitime.

 

Il va donc falloir inventer, il va donc falloir être capable de compter jusqu’à trois.

 

Mais pour ce faire, nous devrons nous défaire des préjugés et encore, être capable de déprogrammer dans notre cerveau les postulats foireux qui y sont gravés en caractère gras.

 

Pour illustrer ce que nous allons devoir faire pour conduite la révolution juridique et culturel dont nous avons besoin pour retrouver notre « Douce France », il faut se souvenir de la pensée de Robert Badexter qui nous a rappelé que la France n’est pas le pays des « Droits de l’homme » mais uniquement le pays de la « Déclaration des droits de l’homme », c’est toute la différence.

 

Déclarer des droits c’est bien, mais installer, créer des institutions qui vont permettre le mieux possible, de garantir les libertés fondamentales, requière sur le plan institutionnel une autre dimension.

 

En 1958, De Gaulle et ses publicistes en créant la Vème république a voulu remédier au travers de la IVème république : des institutions prises en otage par les parties, qui régnaient au parlement, sources de toutes les collusions possibles et imaginables.

 

Force est de constater que si dans un premier temps la Vème république a réussi à reconstruire la grandeur de la Nation, dans un 2ème temps ce système a dégénéré et nous y sommes aujourd’hui : comment ce pays si riche ………

 

Depuis plus de 200 ans, la république n’a fait que déclarer des droits mais n’a pas instauré des institutions ayant pour finalité d’assurer la meilleure effectivité possible aux libertés fondamentales.

 

Pour le moment rien ne bouge, le pays est bloqué, on tourne en rond, nos institutions ne comportent pas une « sortie de secours » permettant d’engager une réforme institutionnelle en profondeur, pour dégager la classe politique misérable qui a pris notre peuple et son devenir en otage.

 

Ce n’est pas nouveau, déjà dans les années 70, le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas prononce un discours de politique générale à l’Assemblée nationale sur le thème « La France est bloquée » et par suite propose des mesures visant à débloquer la société française.

 

Manifestement, son plan, ses propositions ont été inopérantes, n’ont pas réussi à enclencher une dynamique visant à débloquer la France et partant, à entrainer une logique de Concorde Nationale avec à la clef la prospérité et la tranquillité pour le plus grand nombre.

 

Comment avons-nous pu en arriver là !

 

Le plan de cet écrit est assez simple. 

 

Pour pousser plus avant sur le chemin tracé par le valeureux Vincent Lyndon, nous avons trois questions à nous faire : 

 

1° qu’est-ce que la République ? Une transition pour ne pas dire une trahison ;

 

2° qu’est-ce que les républicains ? Un groupuscule de petit vieux ;

 

3° qu’est-ce que la Démocratie. Un avenir radieux pour l’humanité.

 

Pour paraphraser Sieyès, on verra si les réponses sont justes et comment préparer un avenir institutionnel ou plus exactement comment se débarrasser des macronautes, qui ne sont que des poux républicains : malheur aux hommes, malheur aux peuples qui croient savoir ce qu’ils veulent, quand ils ne font que le vouloir ! ! ! 

 

Sieyès interroge l’histoire des hommes sur la distinction entre le savoir et la volonté.

 

I Qu’est-ce que la république

 

République est un système dans lequel la fonction justice a été rabaissée au rang de simple service public. 

 

On se souvient de Carlos Manuel VALLS, ce personnage qui nous a gavé sur le thème des « valeurs de la république ».

 

Carlos Manuel VALLS est le personnage qui ne pouvait pas faire une intervention publique sans faire référence « aux valeurs de la république », qui ne sont rien sinon bien peu au regard du concept de libertés fondamentales.

 

Ce personnage s’est enfui en ESPAGNE et exerce donc maintenant ses talents dans une monarchie, quand il passe la frontière, il passe donc par perte et profit les « valeurs de la république ». 

 

Carlos Manuel VALLS a utilisé une grande partie de son énergie à nous convaincre que sa légitimité publique tenait dans le fait que son action publique visait à faire prévaloir les « valeurs de la république ».

 

Les libertés fondamentales constituent pour l’essentiel les grands principes prévus par la déclaration de 1789, principe repris par la Convention européenne : la liberté d’expression, la liberté d’aller et venir, la présomption d’innocence, la non rétroactivité de la loi pénale, le procès équitable, concept qui interdit la pratique des procès truqué, principes décrits par BECCARIA à la fin du 18ème siècle. Principes, qu’il nous faudra revisiter non pour les réduire mais pour les compléter, notamment quant à la définition du concept de Droit et du concept de Liberté, les principes d’action qui structurent un système démocratique, principes totalement ignorés par les républicains, qui ne sont que des poux au regard de l’histoire des institutions publiques, on s’en expliquera.

 

Si vous demandez à un « Potard » ou à une « Potarde » (les valeureux et valeureuses titulaires d’un diplôme de science po), qu’est-ce que la Liberté, il ou elle partira dans des explications foireuses à n’en plus finir, alors que depuis Guillaume d’OCKAM, la définition tient en quelques mots.

 

De la même manière, si vous demandez à un « Potard » ou à une « Potarde », qu’est-ce que le Droit, il ou elle partira encore dans des explications vaseuses, basées sur les enseignements foireux qu’ils ou elles ont reçu dans ce « moule à gaufre » que constitue ces prétendues écoles de science politique, explications de style « pédantesque », comme si la politique pouvait constituer une science, ces « potard » et ces « potardes » sont devenus des spécialiste de l’affaiterie : l’art de parler pour ne rien dire et on se souvient que dans le passé Boileau et Racine ont toute leur vie, dénoncés ces spécialiste de la pensé creuse, on dirait aujourd’hui, des spécialiste de la « narration ».

 

Avec la difficulté qui tient dans le fait que ces « potards » et ces « potardes » ne doutent pas un instant de leur grandeur, du fait qu’ils et elles s’imaginent que leur diplôme leur garanti la maitrise d’une science dite politique. 

 

Le problème tient dans le fait que ces « potards » et ces « potardes » connaissent si peu de chose qu’ils et elles ne connaissent pas même la différence entre un discours descriptif, un discours prescriptif et un discours d’opinion. 

 

On y reviendra dans la suite de l’ouvrage et on expliquera que le Droit et la Liberté constituent les deux principes d’action, sur lesquels reposent la structuration d’institutions démocratiques, alors que le système républicain ignore ces deux principes d’action, qui constituent la base, c’est à dire le socle d’un Etat démocratique.

 

La république est un système institutionnel qui ne garanti nullement le concept de procès équitable et même, qui n’a aucun problème avec le concept de procès truqués.

 

En république, « on » ne se gêne pas pour organiser un procès truqué pour abattre une personne qui dérange, les exemples sont nombreux on y reviendra, c’est une constante sous la république et s’était également une constante sous l’Ancien régime.

 

Le procès truqué ne constitue pas le talon d’Achille de la république, c’est la tare fondamentale qui discrédite définitivement le concept de république, un système institutionnel qui n’a pas pour objectif ni pour finalité de préserver et de garantir les libertés fondamentales avec en tête de gondole le concept de procès équitable, un système qui n’a pas pour finalité de préserver le bien public, un système qui n’a pas pour finalité de promouvoir la Concorde nationale.

 

République est globalement le système qui succède à l’Ancien régime, un système qui ouvre un chantier, un système qui ouvre une période de transition, mais un système qui ne constitue pas la fin de l’histoire.

 

La peine de mort est une constante sous l’ancien régime. Il faudra attendre 1981 pour supprimer ce châtiment corporel. Sur ce plan, la transition a perduré sur une période de près de 200 ans.

 

Le procès truqué est une constante sous l’Ancien régime. Sur ce plan la transition républicaine n’a pas encore opéré. Nous n’avons pas instauré dans notre Constitution et notre législation des dispositions de procédures permettant d’empêcher la conduite de procès truqué et de châtier avec extrême sévérité les procureurs et les juges qui participent à des opérations de cette nature, on y reviendra, pour eux une seule solution : le bagne à vie ! ! !

 

C’est ici précisément que se pose la question première liée au concept de république.

 

Ici ou là des prédicateurs qui ne connaissent rien à pas grand-chose, qui n’ont aucune vision de l’histoire, sèment la confusion dans les esprits en proclamant que la 5ème république est la cause de tous nos malheurs publics et qu’il suffira d’instaurer une 6ème république pour renouer avec le concept de « douce France » et en cas d’échec, pourquoi pas une 7ème république ou encore une 8ème république etc.

 

D’autres infiniment plus lucides, infiniment plus instruits, infiniment plus subtiles, estiment que République est un système transitoire entre l’Ancien régime et la Démocratie. République constitue un système institutionnel qui comporte une tare fondamentale, le fait que la fonction justice a été rabaissée au rang de simple service public entre les mains du pouvoir exécutif ou plus exactement aujourd’hui entre les mains des « Potards » et des « potardes » (les gens de science po), et encore, laissé sans aucun contrôle quant à la qualité des prestations réalisées (des décisions de justice).

 

Peut-on imaginer que le personnel qui travaille dans une centrale nucléaire puisse se comporter à sa convenance, puisse s’affranchir des procédures, puisse s’affranchir des règles de sécurité pour m’en faire qu’à sa tête, au risque de faire exploser une centrale nucléaire et ainsi par le comportement inapproprié d’une seule personne, pourrir la vie de millions de personnes. Une situation de cette nature est bien évidemment intolérable.

 

Des ignorants croient pourvoir nous expliquer que le taux d’appel ou de pourvoi en cassation est faible, que cela prouve que nombres de décisions ne sont pas contestées et que si nombre de décisions ne sont pas contestées, c’est parce qu’elles sont de bonne qualité. 

 

L’explication est un peu courte, celui qui a été « détruit » par une décision manifestement contraire à l’application de la loi est tellement détruit, qu’il n’a plus les ressources financières et morales pour continuer le combat.

 

C’est une constante, il s’agit de la caractéristique première de la république, la fonction justice est entre les mains du pouvoir exécutif, c’est du reste le résident de l’Élysée qui nomme juges et procureurs à leur fonction.

 

La république n’a pas instauré un pouvoir judiciaire, mais une « autorité judicaire », qui a rabaissé la fonction justice au rang de simple service public, qui n’a pas reçu mission de garantir les libertés fondamentales pour chaque citoyen, mais qui, de dérive en dérive est devenu un instrument de répression entre les mains du pouvoir exécutif ou tout simplement de l’Etat, qui à ce jour se cristallise autour des macronautes et de la « gauche mazout », qui sont en grande partie des « potards » et des « potardes ».

 

Dans le système républicain, la justice est globalement aux ordres du pouvoir exécutif, alors que dans un système démocratique ce ne peux jamais être le cas.

 

Dans un système démocratique, la fonction justice agit au nom de la Nation pour faire prévaloir en toutes circonstances les libertés fondamentales, avec comme principe premier le concept de procès équitable, on y reviendra.

 

Le système républicain ne pouvait que dégénérer car il permet tous les trafics institutionnels lié au fait que la justice ne passe pas de la même manière à tous les niveaux de la société.

 

Les exemples anciens et récents sont nombreux, on exposera donc des affaires significatives pour illustrer le fait que si la France a des problèmes, le concept « d’autorité judicaire » est un problème et pour ne pas dire le problème premier.

 

Dans cet ouvrage sont décrits des procès truqués, en première instance, en cour d’appel, devant la Cour de cassation, devant le Conseil d’Etat etc. Les pièces visées prouvant ces forfaitures sont disponibles à la lecture sur le site internet « Commission nationale d’enquête sur la justice ».

 

Pour démontrer que dans le système républicain la fonction justice est nécessairement un problème, pour ne pas dire le problème numéro un, nous exposerons des affaires significatives : l’affaire Stavisky / Albert Prince, l’affaire Louis X., l’affaire des fraudes électorales chez les avocats, l’affaire du procès truqué N° 1 organisé contre moi, l’affaire du procès truqué N° 2 organisé contre moi, l’affaire Molina, l’affaire Ramirez, l’affaire Taoualit, l’affaire de Me RIPERT et tant d’autre affaires qui seront analysées par la Commission Nationale d’Enquête sur la Justice.

 

A) L’affaire Stavisky

 

Stavisky est un escroc qui organise d’importantes malversations financières avec des complicités dans les banques et au plus haut niveau du gouvernement.

 

Mais la justice républicaine ne passe pas.

 

Stavisky est démasqué mais continu ses malversations car il est couvert au plus haut niveau du gouvernement. Il n’est pas poursuivi car la justice républicaine via le procureur général de la cour d’appel de PARIS le couvre.

 

Au parquet général de la cour d’appel de PARIS, un conseiller rédige un rapport accablant sur l’affaire Stavisky, rapport qui démontre les complicités dont bénéficie Stavisky au plus haut niveau de l’Etat et dans la justice républicaine.

 

Ce conseiller s’appelait le conseiller Albert PRINCE, il était le chef de la section financière du parquet de la SEINE.

 

Le conseiller Albert PRINCE a été enlevé puis a été attaché sur une voie de chemin de fer vers DIJON, il a été tué par le passage d’un train.

 

Depuis la mort du Conseiller Albert Prince, ceux qui servent au sein de la justice républicaine, sont parfaitement informés du fait qu’ils et elles ont tout intérêt à « lever le pieds » dans certaines affaires, pour éviter de se retrouver attaché sur les rails d’un train.

 

La justice républicaine n’a bien évidemment jamais résolu cette affaire, l’enquête a été supervisée par l’inspecteur BONY, un policier indélicat qui était également intervenu de manière déterminante dans l’affaire SEZENC, un policier indélicat qui a été fusillé à la libération, après avoir servi dans la « carlingue » pendant la guerre.

 

Pour faire court, la justice républicaine qui sur le plan institutionnel est dénommée « autorité judiciaire » qui comprend la justice civile, la justice commerciale, la justice des prud’hommes, mais aussi et surtout la justice pénale, n’a pas été conçu pour faire prévaloir les libertés fondamentales et un traitement égal de tous les citoyens, mais a été conçue pour accorder des passe-droits et des passes-gauches à ceux qui tiennent le système.

 

Ici, apparait la distinction entre les décisions rendues par déduction (état de droit) et les décisions rendues par induction (état de police), avec comme conséquence que nombre de décision délivrées par la justice républicaine, constituent des faux en écritures authentique, qui n’ont aucune valeur.

 

La suite au prochain épisode …..

 

1 commentaire:

  1. Bonjour bonsoir,
    Merci infiniment cher Maitre, de nous éclaircir nos lanternes,
    Bien à vous,
    MJ 5

    RépondreSupprimer